Une adolescente rebelle possède sans le savoir des superpouvoirs comme tous les enfants royaux placés au second rang dans l’ordre de succession. Fille des souverains d’Illyrie, elle a du mal à se plier au protocole, préférant tracer sa propre voie.
Au cours de l’été 2018, une brève excursion après une séance d’entraînement de foot s’est transformée en course contre la mort, deux semaines durant. Le monde entier a suivi le calvaire de douze garçons et de leur entraîneur, piégés dans une grotte labyrinthique du nord de la Thaïlande à cause des pluies diluviennes. En quelques jours, des milliers de personnes sont arrivées dans la région pour tenter de les secourir, alors qu’on ne savait pas s’ils étaient encore en vie. Après plusieurs journées d’angoisse, ils ont été retrouvés, piégés à deux kilomètres de profondeur, dans une salle plongée dans l’obscurité la plus totale. La question qui s’est alors posée – immédiate, évidente et déroutante – était de savoir comment les tirer de là.
Deux amis, professeurs d’art dramatique d’un camp de théâtre au bord de la faillite, voient l’arrivée d’un geek incompétent comme directeur, les pousse à s’associer au personnel et aux élèves afin de monter un spectacle pour sauver leur camp.
Olivia, une star internationale du 7e art, est surprise par un paparazzi en compagnie de son amant, Vincent, un homme marié. Pour éviter le scandale, elle demande à son voiturier Antonio - qui apparaît lui aussi sur la photo - de se faire passer pour son petit ami.
Nory Boxwood Horace, 13 ans, et sa meilleure amie, Reina Carvajal, entrent à l’Académie Sage pour étudier la magie. Si Reina est la meilleure élève de sa classe, à l’inverse, Nory maitrise mal ses pouvoirs.
Mety Yang et son meilleur ami Ben ont l’un comme l’autre toujours eu du mal à trouver leurs marques au lycée. Alors qu’arrive la période des bals de fin d’année, ils voient leurs camarades crouler sous les demandes, dans une ambiance survoltée qui n’est pas sans rappeler celles des années 1980.
« Safety » est un drame inspiré par l’histoire puissante de l’ancien safety de Clemson University, Ray McElrathbey, un jeune homme qui fait face à une série de circonstances difficiles et dont le dévouement et la persévérance vont l’aider à surmonter de difficiles épreuves.
Des séances d’entraînement passées pieds nus dans les rues de Lagos aux scènes d’Angleterre, « Madu » retrace la vie d’Anthony Madu, 12 ans, qui quitte sa maison au Nigeria pour étudier dans l’une des plus prestigieuses écoles de ballet au monde. Son voyage est truffé de leçons de courage et de résilience ainsi que d’obstacles hors du commun. Le jeune gaçon fait face à un événement inattendu, qui menace ses rêves et qui l’amène à s’interroger sur son sentiment d’appartenance.
Zed et Addison sont en terminale au lycée de Seabrook et la ville est désormais un havre de paix pour les monstres et les humains. Zed cherche à décrocher une bourse sportive pour être le tout premier zombie à aller à la fac, tandis qu’Addison organise un concours international de cheerleading. Lorsque des envahisseurs intergalactiques débarquent pour participer au concours, Seabrook se met à douter de leurs réelles intentions.
Chang, un ado américain d’origine asiatique, membre de la fanfare du lycée, parie avec la star du basket dans l’établissement qu’il saura smasher d’ici quelques semaines. Du haut de son mètre soixante-douze, Chang va tenter d’acquérir la technique qui lui permettra de faire preuve de sa prouesse pendant le match afin d’impressionner la fille dont il est amoureux, Kristy, et d’obtenir la reconnaissance et le respect de ses camarades. Mais pour y parvenir, il lui faudra remettre en question tout ce qu’il pensait savoir sur lui-même, ses amitiés et sa famille.
Pendant les vacances d’été, Darius, 14 ans, explore sa masculinité à travers les relations tumultueuses qu’il entretient avec son père Malcom et l’influence grandissante d’un mystérieux vagabond, Porter. Lorsque Darius apprend la véritable identité de Porter, il se retrouve au cœur d’une rivalité entre les deux hommes qui menace de déchirer sa famille et de le mettre en danger.
A l’été 1969, à la même période que les mythiques concerts de Woodstock qui se déroulaient à une centaine de kilomètres de là, le Harlem Cultural Festival de New York donnait lieu à une impressionnante série de représentations, et cela devant plus de 300 000 personnes. Largement tombée dans l’oubli, cette manifestation dont les images n’avaient jamais été diffusées revient aujourd’hui.